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Marie : ma première expérience GRP


Publiée le par Marie Cailler

Marie : ma première expérience GRP

Hello, je vais essayer de vous faire un « petit »récit de mon aventure GRP (je ne sais pas faire simple et court). 

L’aventure GRP a commencé pour moi il y a un an, avec Matthieu, on suivait déjà depuis deux ans car ma sœur et son mari l ont fait deux années consécutives. 

J ai toujours été impressionnée d’ailleurs. Matthieu m’avait dit, « je te vois le faire, si tu ne t inscris pas, c’est moi qui t inscrirai » 

Inscription faite, on attends patiemment les tirages au sort (avec une préférence pour le Bastan) car nous adorons le secteur avec Matthieu, adeptes de randonnées et bivouac dans ce secteur. Je voulais passer la Hourquette Nere (ma préférée). 

Bim le résultat tombe! 

Je suis dans la première vague de tirage au sort du Bastan! Tellement contente. 

Un copain de Matthieu est tiré au sort dès le début sur 4 courses, il choisit le Bastan pour «m’accompagner »… 🤣 ah ah (vous comprendrez plus tard).

Deux gros challenges m’attendent donc cette année, les 56 km de l’Ultra marin et le tour de Bastan au GRP. Clairement, ces objectifs, ça me booste pour 2025, j’en parle probablement trop vous dira Matthieu. 

De plus, depuis mon arrivée à Run4fun, j’avais lu les récits GRP de l’année dernière, ça m’avait donné également envie de me lancer et je sentais qu’ici il y aurait toujours du monde pour accompagner nos objectifs personnels. 

Une douleur à la cuisse depuis Erquy m’empêche de faire ma prépa pour l ultra marin comme je l’espérais. 

A 15 jours du départ, je fais un « ça passe ou ça casse » en allant courir 30 kms. 

C est passé. J ai donc couru l’Arvor à l ultra marin fin juin. (Ce qui m’aidera forcément d avoir couru presque 7h pour la gestion d une course longue et donc de l alimentation en course). 

Quinze jours après je fais un trail à la montagne, à Bareges, avec vu au loin sur le Tourmalet. Je m’étais inscrite pour le 25km 1500 D+. Un peu pour commencer la prépa GRP mais à la base plus par envie d’aller courir à Bareges où on adore passer du temps. Après 3h52 de course, pas de gêne à l’estomac, ça me rassure! 

Après ça, je réalise qu’il est grand temps de lancer la préparation GRP, finalement déjà un peu entamée. Fin juillet- début août, la côte à guigui devient donc ma meilleure amie. Merci à la team R4F pour les sorties côtes le soir et les sorties du week-end. Voir vos sorties côtes m’ont clairement beaucoup motivée! 

C est les vacances! 

8 août : départ en congés, direction la montagne, une semaine avant le GRP, je me fais une dernière sortie le jeudi tout pile une semaine avant :  Aller Retour Tournaboup - refuge Aygues Cluses pour ceux qui connaissent. Il fait super beau, quelques randonneurs donc je ne suis pas isolée, toujours aussi beau ce sentier, un vrai kiff cette sortie! J’avais tellement envie de continuer jusqu à la Hourquette Nère mais je me raisonne, « ne pas se fatiguer » et surtout «  ta famille t attends en bas😅 » 

Se poursuit quelques randonnées avec les enfants, une nuit en bivouac , bref tout est parfait. On arrive à st Lary la vieille, retrait des dossards «  purée J y suis! »  je m’attendais à ce que ce soit plus grand mais c est génial, le GRP c est simple, pas de chichi. 

Je croise Benoît, on discute, on a hâte, je croise Florian au briefing, le temps se gâte, nous sommes sous la pluie. 

Au brief, il n’annonce pas de pluie sur le tour du Bastan, seulement le soir à st Lary donc on se rassure. Pas de plan canicule, nous pouvons partir avec seulement 1,5L d’eau, bonne nouvelle. 

Les gants et la seconde couche, pas obligatoire. Bonne nouvelle (petit regret plus tard tout de même!)

 

Le soir, je pars me coucher vers 22h30, tout me paraît prêt, je dis même pas Matthieu que je me sens plus détendue que la veille de l’ultra marin et que je me sens fatiguée, j ai envie de dormir, 22h30 je me couche. 23h je vérifie quand même la liste du matériel obligatoire. 23h30 je cogite un peu en attendant le sommeil. Minuit, 01h, 02h, je tourne en rond, impossible de fermer l œil, je vois les minutes défilées et la sensation que je vais avoir peu de sommeil avant cette grande course commence à me tendre sérieusement. Un mélange de stress et d’excitation… le départ est à 7heures. 

3h - 4h toujours rien, Matthieu me masse la nuque, il me voit tourner en rond. Je me lève pour mieux me recoucher mais rien n’y fait. Je reste calme, espérant que le calme me repose tout de même (au fond j ai envie de crier mais purée je dois dormir!!) Je vais vraiment prendre le départ en ayant pas fermer l’oeil de la nuit?! 

5h le réveil sonne, je n’ai pas dormi du tout. Ça ne m’arrive jamais. 

Et là, j y vais où je n’y vais pas, je me suis sincèrement posé cette question.

10 mois que j’attends ce jour. Je me raisonne en me disant «  Marie, si tu le finis alors que tu n’as pas du tout dormi, c est encore plus fort » 

Ok je me prépare! 

6h35, Bertrand, le copain de Matthieu qui lui a dormi dans un autre logement à Pla d’adet m’attends devant la résidence. Il est 6h40-45 on court au départ, ils sont déjà tous prêts à partir. J ai dû enfiler ma veste car il pleut déjà sur le départ… 

 

 

C est parti! Je me dis quand même  

« Qu es ce que je fou la? » 

Ça grimpe je me sens bien, trop contente d’y être, arrivée col du portet en 1h20. 

Je m’arrete au ravito des Merlans dans la descente, déjà trop de monde aux toilettes… 😀 ça commence bien 😅

Je poursuis sur le chemin longeant le lac de l’oule puis dans la forêt du Bastan. J’avais enlevé ma veste aux merlans mais je la remets, il peut toujours et de plus en plus et il fait froid… 

On approche le lac de Port Beilh, j’ai vu ce lac plusieurs fois sous le soleil, un peu déçue de le voir sous la grisaille, rien à voir 😅. 

On continue vers Hourquette Nere, je voulais prendre une photo mais on ne voyait rien, J aime tellement cet endroit sous le soleil. Contente de la passer tout de même, ça redescend, je connais ce sentier, déjà fait en rando avec un sac de 11 kg sur le dos, je fais attention sur la descente car je suis tombée un mois plus tôt en course à Barèges dans une descente. 

Je commence à reconnaître le sentier qui remonte vers le pas de la crabe, je l’ai déjà fait aussi avec mon sac de rando, je suis hyper contente d’y être de nouveau et cette fois ci bien décidée à terminer cette descente (en juin, Matthieu et moi avions été bloqué sur un nevé sur le secteur pas de la crabe, isolés dans la descente, il y avait des restes de neiges très glissantes, pas de crampons, nous avions fini par appeler les secours, et donc fini en hélicoptère oui oui, pas hyper fiers mais nous avions été raisonnables) alors c est un challenge pour moi cet endroit. 

Tellement contente de l’avoir fait et finalement je ne l’ai pas trouvé si dur. L’enchaînement Hourquette Nere / Pas de la crabe, j ai même adoré! 

Ça bouchonne un peu pour descendre, je double, Go vers la mongie pour retrouver ma famille! Je vois Matthieu et les enfants. Matthieu me dit que son copain Bertrand a passé la mongie en 3h30 (batard 😅) moi j’y suis en 5 heures. 

A la Mongie, je vois beaucoup de monde au ravito, je décide donc de prendre mon temps, il pleut pas mal dehors, il fait froid, on se refroidit si vite, un petit tour aux toilettes, on remplit les gourdes, quelques bouts de fromage, je ne tente pas la soupe, j’ai peur pour mon estomac, un mini sandwich préparé. Je vais vers la sortie du ravito et là, je vois toute cette pluie, j’ai envie d’aller me coucher 😅 on se regarde avec un coureur et on se dit «  bon quand faut y aller ». La même sensation que lorsque tu pars à la sortie longue le dimanche matin quand il pleut, la flemme de sortir 😅. 

On monte le serpolet, j’ai bien aimé cette montée, idem, déjà faite avec un sac chargé deux mois plus tôt mais aujourd’hui, avec toute la pluie de la vraie gadoue et là je me dis : « je ne suis pas au GRP pour revivre la gadoue des Foulees du Mingot bordel! » 

Arrivée au col du serpolet, tout va bien, je commence à être plus faible, je sens que je ne mange pas assez. 

On continue la loooonnngue monteee vers le refuge de Campana. 

Encore une fois, j’ai déjà fait, ça me rassure mais je la trouve si longue, ça me perturbe un peu. (petite pensée à Laura et Sébastien qui avaient fait cette montée avec nous, vraiment je m’excuse, elle était difficile quand même! 😘) 

Il pleut, on croise des randonneurs. Il fait vraiment tout gris, j ai faim, mais j ai un peu plus de mal à m’alimenter.. encore et toujours des cailloux et comme ça monte, impossible de courir pour moi. 

Arrivée à Campana, satisfaction, il est grand temps pour moi de manger, on m’attrape mes gourdes «  je vais vous les remplir » ils sont aux petits soins pour nous la bas. 

Une bénévole capte mon regard de loin (sûrement une infirmière) «  ça va? » «  oui oui » 😅

Je pense que je devais être un peu blanche. Plus de jus, pas dormi de la nuit mais hors de question d’arrêter. Je préfère finir en marchant, je veux finir! 

On continue dans les cailloux, je crois qu’à ce moment là, je recommence à courir un peu mais légèrement car vite le sentier est rempli de cailloux et me sentant faible, je ne veux pas tomber. Je discute avec les gens, ça me fait du bien, un gars de Bordeaux, c est son premier trail de montagne. 

Arrivée au pied du col du bastanet, je grimpe, je sens que je n’ai plus de jus, j’essaye de manger mais c’est vraiment compliqué. Je monte avec un groupe mais je m’arrete sur un caillou. Je suis faible, j’ai envie de pleurer. Je me retiens un peu. 

Un deuxième groupe arrive. Dans l’ensemble jusqu’à ce niveau de la course, il n’y a pas vraiment de gens isolés, certains me demandent si ça va, je dis que je fais une petite pause, le dernier me dit « allez viens mange des compotes si ça passe plus, suis moi, ça va le faire » je le suis et je reprends de la force. Finalement le bastanet, derrière lui,ça l’a fait. 

Ce coureur me regarde en haut et me dit «  ça va? » « oui c’est bon maintenant, merci », puis il part dans sa descente. 

 (J ai croisé ce coureur au restaurant de Vignec le vendredi soir, j ai pas osé aller lui dire merci) 

La descente est par contre très rude mais je prends mon temps pour pas tomber, je me fais doubler, j’ai l’habitude maintenant 😅

C est parti pour une longue descente vers les merlans, sentier avec pas mal de cailloux, c est hyper joli, j’ai envie de le refaire en randonnée mais je trouve ça si long. Je reconnais la descente près du refuge du bastan, puis le lac supérieur et du milieu, on me double encore, je discute cependant, un homme qui vit pres de Nantes cette fois ci, lui aussi était sur l’arvor a l ultra marin. Il a l’habitude du GRP (4 ou 5ème édition) 

Il me dit qu’il a déjà fait le 80km du GRP et qu’il trouve le tour du Bastan plus dur que le 80. (Bizarrement ca me rassure d’entendre ça). 

Il me double, je le rattrape plus loin mais dès que je cours trop, je sens que j’en demande trop à mon corps qui n’a plus d’énergie, mon ventre est barbouillé. 

On arrive sur le sentier qui longe le lac de l’Oule, je cours par moment, je me fais doubler, j ai mal aux bras avec les bâtons mais je me mets en marche active souvent. 

Je me retrouve de plus en plus seule, j’ai failli louper la balise. Je commence à reconnaître le paysage près des Merlans, ça

me rebooste mentalement. J’arrive quand même en marchant au ravito 😅

Je prends le temps d’aller aux toilettes (Avant la longue descente vers vielle aure c est nécessaire, les femmes me comprendront 😅) 

Je n’arrive plus à m’alimenter mais là je sens qu il faut absolument que je mange, je tente la pastèque, la grenadine, ça me fait beaucoup de bien sur le moment, un peu de sucre ça devrait m’aider. La dame du ravito nous dit qu il reste 270 personnes dernière nous. 

C est parti pour le col du portet, purée (synonyme au mot pensé réellement), je réalise que je vais le finir!! 

L’estomac me brasse, quelques nausées qui finalement passeront. 

La montée est pleine d’émotions, je pleure de bonheur, de fatigue, je ne sais pas trop. 

Je croise des randonneurs, je me dis, tant pis ils vont me voir chialer mais je suis trop contente au fond. 

Purée, j ai pas dormi, je suis fatiguée, j’ai mangé 1 compte et demie, 3 mini sandwich de 2 cm d’épaisseur, quelques bouts de fromage et mes deux mini morceaux de pastèque mais j’y vais sur cette ligne!! Mon corps est fatigué mais je me sens bizarrement si heureuse!! En vrai, on dirait que je me plains beaucoup mais j’ai aimé tout le long le parcours et chanceuse d’être là ce jour! 

 

C’est le début de la descente, tout le monde pendant la course m’a dit qu elle serait interminable. Nous retournons encore dans un nuage, avec quelques courreurs, on ne voit pas le début du sentier de descente. Nous y arrivons, impossible pour moi de courir, cette première partie de descente sur la piste est très raide et pentue, je sens mes genoux qui me font très mal notamment douleur terrible à l’essui-glace à droite. Je m’aide même de mes bâtons, impossible d’avancer sinon et je me dis « mais comment font ils pour courir? ». 

Le coureur devant moi s’efface dans le nuage, personne derrière moi, paysage d’apocalypse, j ai peur de me tromper de chemin, je cours pour le rejoindre, on continue un peu ensemble, lui aussi me dit qu’il a déjà fait le 80 et qu il trouve ce 50 kms vraiment difficile. On continue comme ça un long moment puis contre toute attente, on arrive sur de la route après Espiaube! Vous ressentez ma joie dans mes mots, de la route!! Je cours vraiment et ça me fait tellement de bien, après ces 45kms de cailloux, je regarde ma montre, je suis à 5'30 5'45 du kilomètre, je me dit même "calme toi Marie, il faut tenir jusqu'à au bout". Je double des coureurs, je double le nantais, il me dit " bah dis donc ça va mieux toi" ? Quel plaisir de courir!

J arrive à un endroit où on voit une balise orange sur la route, une autre sur le petit sentier, on se pose la question avec plusieurs coureurs. On emprunte donc le petit sentier plein de racines et de cailloux. Un gars me dit qu’il reste 2 kms, je pensais qu’il restait 600 mètres. On arrive doucement dans Vignec, je croise une personne qui monte ce chemin à pied, je lui demande « C est bientôt de nouveau la route, la ville? » il me réponds «  oui la route, les gens et toute l ambiance qui va avec! 😀 ». Ça me fait du bien d entendre ça 🙂

Plus qu’un kilomètre, je cours a côté d’un gars qui parle beaucoup, je me dis que ça aurait cool que je le rencontre plus tôt lui, moi qui adore parler sur ces courses. On finit ensemble, on se dit qu’on est bientôt finisher, il insiste pour que je passe devant lui, j’arrive au virage qui mène au pont et à l arrivée, j aperçois Matthieu, Bertrand et mes enfants 🥰. 

Léandre et Marceau viennent courir jusqu’au tapis rouge avec moi. Bonheur d’avoir franchi cette ligne. J’arrive au bout, je discute avec le bénévole le temps que Matthieu récupère les enfants. J’avance doucement dans la petite cours, une bénévole me dit « On attends une Marie qui a fini sa course pour lui remettre sa médaille de finisher 😀» je lui ai fait un énorme sourire, « je suis bien là 😁 »

Je prends le temps au ravito et rejoins ma famille. Je fais un gros câlin à Matthieu, j’ai un peu les larmes aux yeux. 

 On ne traîne pas, Bertrand est arrivé en 8h40. (94ème, une machine!) 

Pour ma part, je finis 610 sur 830 je crois. Après coup, je suis un peu déçue de moi mais pas grave, c était mon premier trail de montagne. Je connais mes faiblesses, je vais travailler 💪 J’apprends à chaque course et je trouve cela tellement intéressant. 

Le soir, (comme bien conseillé par la fille d’Hugo lors de la soirée nutrition) nous avons mangé des pizzas!! Ah ah. 

La nuit suivante, vous vous doutez, j ai dormi comme un bébé. 

Le lendemain, brunch a 10h après avoir été voir les coureurs du Neouvieille passer à Pla d’adet, j ai les larmes aux yeux rien qu’à les voir passer mais je ne dis rien. 

Le vendredi, on a passé de beaux moments à st Lary. 

La seconde nuit, j ai fait une petite hypoglycémie en pleine nuit. Faut aller récupérer toutes les calories consommées. Me voilà à manger du pain à 4h du matin. Résultat : je fais que de manger depuis 5 jours 😄. 

J’ai eu quelques courbatures le lendemain mais pas trop gênantes, Bertrand lui, a mal partout, je lui dit «  attends demain ça va être pire » finalement mes courbatures se sont apaisées le lendemain. Un peu surprise de pas en avoir plus. D’autant plus que selon lui, si tu n’as pas de courbatures, c’est que tu n’as pas tout donné en course. J’aurai presque apprécié en avoir plus! 

Et bizarrement, aucune brûlures de frottements comme à l’ultra marin et même pas d’ampoules aux pieds. 

Hyper contente de cette première expérience, j’ai déjà envie de recommencer.

Déçue et frustrée de n’avoir pas pu admirer nos jolis paysages pyrénéens! Mais je me rassure en me disant que je commence à bien connaître ces paysages, ces cols, ces lacs. Je reviendrai ! 

J ai déjà hâte des pré inscriptions 😃 et je me cherche déjà de nouveaux challenges pour 2026. 

Mon récit vous aura peut être fait penser à de la souffrance, rassurez vous, je l ai trop bien vécu!! 

Je crois que c’est un peu comme les séances de fractionnés, j’aime bien souffrir 😁 

J’espère que nos récits donneront des idées à ceux qui hésitent à s’inscrire l’année prochaine qu’on puisse se faire une grande team GRP 😉

Bonne recup à vous après cette lecture beaucoup trop longue 😅 

Et à bientôt sur nos sentiers!

Marie 

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22 commentaires

Commentez la news

Baptiste Nuaud

Baptiste Nuaud le 31 août 2025 à 12:49

Bravo Marie, super récit, on s'y croyait dans chaque étape 👏👏
Karine Paysan

Karine Paysan le 30 août 2025 à 08:04

Bravo Marie et quelle détermination je suis admirative 🏆
ELODIE CHESNEAU

ELODIE CHESNEAU le 29 août 2025 à 07:35

bravo Marie 💪💪💪👍tu as eu un mental d acier, félicitations championne !!!
Vincent Meunier

Vincent Meunier le 28 août 2025 à 21:53

bravo Marie 💪💪 ces sentiers nous ont malmenés mais qu’est ce que c’était bien 😌
Florence-M

Florence-M le 28 août 2025 à 21:13

Bravo championne! Tu es impressionnante. Quelle force mentale il faut pour aller au bout d'un tel challenge! Chapeau.👏
Vanessa MILON

Vanessa MILON le 28 août 2025 à 20:42

Bravo Marie !!tu es impressionnante💪😊bon tu m as fait pleurer 😅car j imaginais toutes les émotions par lesquels tu es passé...mental de fou😁
Stephane ROBERT

Stephane ROBERT le 28 août 2025 à 19:46

bravo Marie pour ta détermination qui t'a permis d'aller au bout de cette course.Merci pour ton témoignage qui décrit avec précision toutes les émotions que tu as ressenties !
Florian Dobigeon

Florian Dobigeon le 28 août 2025 à 19:26

Bravo à toi Marie ! Ton année est impressionnante et force le respect.
Charles Linden

Charles Linden le 28 août 2025 à 19:25

Bravo Marie, merci pour ce récit dans lequel tu te livres. Pour toutes ces émotions ça donne aussi envie de le faire !!
Hugo BOSSIS

Hugo BOSSIS le 28 août 2025 à 19:07

Bravo Marie et merci pour ce super partage d'expérience. Ça rappelle plein de très bons souvenirs. Ton récit est vraiment chargé d'émotions. Vive le GRP.

STEPHANIE ORIEUX

STEPHANIE ORIEUX le 28 août 2025 à 19:06

Quel beau récit Marie 😊 Tu es une grande sportive, un super mental 💪 Bravo à toi.
guillaume ORIEUX

guillaume ORIEUX le 28 août 2025 à 18:36

Merci Marie pour ce super moment de lecture et d'évasion...et bravo encore👍
Catherine CHAUVIN

Catherine CHAUVIN le 28 août 2025 à 18:32

Encore bravo!!! Et pour 2026, j'ai trouvé une bonne idée à la con... Encore 😁
Marie-Laure BOSSIS

Marie-Laure BOSSIS le 28 août 2025 à 18:17

Très beau récit, quel effort et quel mental. ce n est toujours pas pour moi…
Karine JACQUAINT

Karine JACQUAINT le 28 août 2025 à 17:56

waouh, chapeau Madame!!! ca donnerait "presque" envie ...
Erwan KERYER BIBENS

Erwan KERYER BIBENS le 28 août 2025 à 17:46

Bravo Marie. Bel enchaînement après l’Ultra Marin.
Benoît MARIONNEAU

Benoît MARIONNEAU le 28 août 2025 à 17:45

marie merci pour ce superbe récit. tu as été forte dans ta tête. c est le mental quelquefois qui prend le relais du physique. félicitations tu es Finisher.
mohamed BSIR

mohamed BSIR le 28 août 2025 à 17:24

Bravo à toi.Quel mental 💪👏
Laure Messager

Laure Messager le 28 août 2025 à 17:24

très chouette ton récit Marie, ça donne envie d'y aller! félicitations !
François Lallican

François Lallican le 28 août 2025 à 17:08

Bravo à toi ! Sacrément costaud, et ce pas de la crabe m'avait laissé de sacré souvenir 🥵
Ludivine PERIO

Ludivine PERIO le 28 août 2025 à 16:56

merci Marie pour ce beau récit qui m’a fait verser ma petite larme. Un grand bravo à toi 😊
Gilou

Gilou le 28 août 2025 à 16:48

salut marie.je te félicite pour ton récit.bravo pour ta course ainsi que ta perfomance..a bientôt
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